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Face à la mutation sociétale en cours : l'élévation de nos démocraties

L'Univers "Goldman Sachs" à l'assault de nos démocraties ?

Voilà plusieurs mois que le nom de l'entreprise "Goldman Sachs" revient de manière récurrente lorsqu'on entend parler de réformes néolibérales au sein des pays Européens.

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Commentaire de tinsmar le 30 janvier 2013 à 20:50

Goldman Sachs la banque qui dirige le monde ARTE 04 09 2012

origine de l'article ici

Un documentaire de Jérôme Fritel et Marc Roche, à voir sur ARTE le mardi 4 septembre à 20.40 et sur ARTE.tv gratuitement jusqu'au mardi 11 septembre 2012.



Depuis cinq ans, la banque d’affaires américaine Goldman Sachs incarne tous les excès et dérives de la spéculation financière. Après s’être enrichie pendant la crise des « subprimes » en pariant sur la faillite des ménages américains, elle a été sauvée de la faillite grâce à ses appuis politiques. Quand le krach financier traverse l’Atlantique, Goldman Sachs devient l’un des protagonistes de la crise de l’euro en pariant contre la monnaie unique, après avoir maquillé les comptes de la Grèce. Quand les gouvernements européens tombent les uns après les autres, "la Firme" en profite pour étendre son formidable réseau d’influence sur le Vieux Continent.

UN EMPIRE INVISIBLE

Plus qu’une banque, Goldman Sachs est un empire invisible riche de 700 milliards d’euros d’actifs, soit deux fois le budget de la France. Un empire de l’argent sur lequel le soleil ne se couche jamais, qui a transformé la planète en un vaste casino, pariant sur tout et n’importe quoi pour engranger toujours plus de profits. Grâce à son réseau d’influence unique au monde et son armée de 30.000 moines banquiers, Goldman Sachs a su profiter de ces cinq années de crise pour accroître sa puissance financière, augmenter son emprise sur les gouvernements et bénéficier de l’impunité des justices américaines et européennes.
Ce documentaire de Marc Roche, journaliste spécialisé au Monde, auteur du best-seller La Banque, et de Jérôme Fritel, est une plongée au cœur de ce pouvoir qui ne reconnaît aucune frontière, ni aucune limite et menace directement les démocraties. Les témoignages, à visage découvert, d’anciens salariés de Goldman Sachs, de banquiers concurrents, de régulateurs, de leaders politiques, d’économistes et de journalistes spécialisés dévoilent pour la première fois la toute puissance financière et politique de "la banque qui dirige le monde".
Commentaire de tinsmar le 30 janvier 2013 à 20:48

La banque Goldman Sachs conseille à la France de baisser tous les salaires de 30%

Origine de l'article ici

"Il faudrait s’appuyer sur une baisse des salaires générale", conseille l'un des économistes de la banque américaine.

La banque américaine figure parmi les principaux acteurs de la crise des "subprimes" aux Etats-Unis (AFP CHRIS HONDROS) en 2008.

Une solution pour redresser l'économie française ? Abaisser tous les salaires de 30%. Huw Pill, le "Monsieur Europe"  parmi les économistes de la banque américaine Goldman Sachs a accordé une interview la semaine dernière au Huffington Post.

Huw Pill y dispense quelques conseils gratuits : "Il faudrait déplacer l’emprise de l’Etat vers le secteur privé. Ensuite, il faudrait s’appuyer sur une baisse des salaires générale, afin de regagner de la compétitivité. On estime que la France devrait réduire sa moyenne salariale d’environ un tiers, ce qui est politiquement impossible à imposer…" Tout simplement.

Rappelons que c'est Goldman Sachs a qui remporté la semaine dernière  le "prix de la honte" 2013 décerné notamment par Greenpeace Suisse. Goldman Sachs obtient le prix du jury, qui a jugé que la banque américaine était un "acteur central de la mondialisation, alimentant les profits de quelques rares nantis par le biais d'inégalités phénoménales et de l'appauvrissement de larges couches de la population". 

Cette année, rappelle LeMonde.fr les principaux dirigeants de Goldman Sachs vont se partager plus de 100 millions de dollars de bonus, dont 13 millions rien que pour le PDG.

 

Commentaire de tinsmar le 18 décembre 2012 à 16:41

Plus bas, dans un dépôt plus ancien vous découvrirez une carte quasiment similaire. La comparaison avec celle-ci montre l'évolution de la pieuvre Goldman-Sachs.

Goldman Sachs finalise sa prise de contrôle économique sur l’Europe

origine de l'article

 

A la surprise générale, le chancelier de l’Échiquier britannique, Georges Osborne, a annoncé lundi 26 novembre la nomination de Mark Carney, 47 ans, actuel gouverneur de la Banque centrale du Canada, au poste de gouverneur de la Banque d’Angleterre. Le nouveau patron de la Bank of England (BoE) doit succéder à l’actuel gouverneur Mervyn King en juin 2013.

Mark Carney a fait des études à Harvard et Oxford, puis travaille treize ans pour la compagnie Goldman Sachs International à Londres. Il s’impliquera notamment dans l’économie post-apartheid de l’Afrique du Sud ainsi que dans les opérations de Goldman Sachs liées à la crise financière russe de 1998 , en conseillant la Russie de parier contre la capacité du pays à rembourser sa dette.

La nomination de Carney survient à peine six mois après sa participation à la conférence du Groupe Bilderberg de 2012 à Chantilly, en Virginie, une réunion annuelle de plus d’une centaine de personnes les plus puissantes de la planète, qui usent régulièrement de leur position afin d’imposer certains choix … ou  nominer certains hommes.

La présence de Carney à la réunion du Bilderberg de cette année lui a sans aucun doute permis de gagner les faveurs des membres du groupe pour le poste de gouverneur de la Banque d’Angleterre, tout comme pour d’autres sommités, comme Herman Van Rompuy, qui a été choisi comme président de l’Union européenne, quelques jours après avoir assisté à un dîner avec le Groupe Bilderberg.

L’ascension de Mark Carney à la tête de la Banque d’Angleterre représente également la dernière pièce du puzzle pour le contrôle de Goldman Sachs sur pratiquement toutes les grandes économies à travers le continent européen.

L’an dernier, c’est l’ancien commissaire européen Mario Monti qui avait été choisi pour remplacer Silvio Berlusconi, le premier ministre italien. Monti était connu pour être un conseiller international de Goldman Sachs, président européen de la Commission Trilatérale et également un membre éminent du Groupe Bilderberg.

« Il s’agit des mêmes criminels qui nous ont mené vers cette catastrophe financière. C’est comme demander à des pyromanes d’éteindre le feu », a commenté Alessandro Sallusti, rédacteur d’Il Giornale.

De même, lorsque le Premier ministre grec George Papandreou a osé suggérer la possibilité pour le peuple grec de s’exprimer lors d’un référendum, il fût remplacé quelques jours après par Lucas Papademos, ancien vice-président de la BCE. Il a notamment été gouverneur de la Banque de Grèce qu’il occupera jusqu’à ce qu’il prépare son pays au passage à l’euro en 2001. C’est sous son mandat qu’a commencé le trucage des comptes publics de la Grèce, au moyen d’instruments financiers proposés par la banque d’affaires Goldman Sachs, qui a conduit à la crise de la dette publique. Aujourd’hui, c’est lui-même qui est à la tête du gouvernement grec pour mettre en place une politique d’austérité supposée résoudre cette crise.

Papademos et Monti ont été nommés en tant que dirigeants non élus pour la raison précise qu’ils « ne sont pas directement responsables aux yeux du public », souligne le Time Magazine, illustrant une fois de plus le caractère autoritaire et antidémocratique de l’Union Européenne dans son ensemble.

Peu de temps après, Mario Draghi – ancien vice-président de Goldman Sachs International – a été nommé en tant que président de la Banque Centrale Européenne.

Le géant bancaire international, connu pour sa corruption et ses délits d’initiés, a désormais une influence énorme sur presque toutes les grandes économies occidentales.

Commentaire de tinsmar le 15 février 2012 à 17:30

Commentaire de tinsmar le 15 février 2012 à 16:57

Quel est le prix de la nouvelle démocratie? Goldman Sachs conquiert l'Europe

Quel prix pour la nouvelle démocratie européenne (origine de l'article)

Alors que les gens ordinaires s'inquiètent d'austérité et de l'emploi, les corridors de la zone euro de pouvoir ont subi une transformation remarquable


L'ascension de Mario Monti comme premier ministre italien est remarquable pour des raisons plus que il est possible de compter.
En remplaçant le scandaleux et sulfureux Silvio Berlusconi, l'Italie a délogé l'indélogeable.
En imposant la prise de fonction par des technocrates non élus, il a suspendu les règles normales de la démocratie, et peut-être la démocratie elle-même.
 Et en mettant un conseiller principal chez Goldman Sachs en charge d'une nation occidentale, il a atteint de nouveaux sommets du pouvoir politique par une une banque d'investissement que vous pourriez estimé comme prohibitif et politiquement toxique.

C'est la chose la plus remarquable de tous: un bond de géant pour, ou peut-être même l'aboutissement du projet de Goldman Sachs.

Ce n'est pas seulement M. Monti. 

La Banque centrale européenne, un autre acteur essentiel dans le drame de la dette souveraine, est prévu par un ex gestionnaire de Goldman , et les anciens de la banque d'investissement régent dans les couloirs du pouvoir dans presque chaque nation européenne, comme ils l'ont fait aux États-Unis tout au long de la crise financière . 

Jusqu'à mercredi, la division européenne du Fonds monétaire international a également été dirigé par un homme Goldman, Antonio Borges, qui vient de démissionner pour des raisons personnelles.

Même avant le bouleversement en Italie, il n'y avait aucun signe de Goldman Sachs vivre par son surnom "le calmar vampire", et maintenant que ses tentacules atteignent le sommet de la zone euro, des voix sceptiques se posent des questions sur son influence. 

Les décisions politiques prises dans les semaines à venir permettra de déterminer si la zone euro peut et va payer ses dettes - et les intérêts de Goldman sont intimement lié à la réponse à cette question.

Simon Johnson, l'ancien économiste en Fonds monétaire international, dans son livre 13 Bankers, a fait valoir que Goldman Sachs et  d'autres grands banques étaient devenus si proches du gouvernement dans la période qui a précédé la crise financière qui les États-Unis était en réalité devenue une oligarchie. 

Au moins les hommes politiques européens ne sont pas "acheté et payé" par les sociétés, comme aux États-Unis, dit-il. "Au lieu de cela ce que vous avez en Europe est une commune vision du monde parmi l'élite politique et les banquiers, un ensemble commun d'objectifs et de renforcement mutuel des illusions."

Ce projet est le Goldman Sachs. En d'autres termes, il est d'embrasser les gouvernements à proximité. Chaque entreprise veut faire avancer ses intérêts auprès des autorités qui peuvent entraver eux et les politiciens qui peuvent leur donner un allégement fiscal, mais ce n'est pas simple effort

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